OzTaBoîte : Ose ramener ta boîte au resto !

Avec la crise sanitaire, finito les restos : c’est livraison, click & collect ou rien ! Mais avec l’explosion de la vente de food hors les murs des restaurants qui a doublé depuis un an, c’est aussi l’explosion du gaspillage d’emballages.

Entre décembre 2019 et décembre 2020, le Syctom (l’agence métropolitaine des déchets ménagers), a enregistré une hausse de 29 % des déchets issus du tri sélectif en région parisienne, qu’il attribue à cette modification des pratiques de consommation et notamment de la livraison pendant la crise sanitaire.

Pendant tout le mois d’avril, un collectif d’associations – Influence4Impact, ÉcoBoussole et la Fédération CleanWalker – lance à Paris le mois zéro déchet avec la campagne OzTaBoîte : l’objectif est d’encourager les consommateurs à ramener leurs propres contenants quand ils viennent sur place pour récupérer une vente à emporter.

C’est un petit geste facile pour nous les consommateurs et qui permet de réduire les coûts très élevés des emballages pour les restaurateurs et le gaspillage pour la planète.
Cette initiative engagée a lieu au mois d’avril mais c’est à garder en tête toute l’année pour limiter au maximum le gaspillage de ce type d’emballage à usage unique.
Plus de 350 restaurants participent à la campagne OzTaBoîte et sont à retrouver sur la carte interactive et/ou à repérer grâce à un sticker jaune OzTaBoîte.

Allez hop, tous chez Magnà, PNY ou 116 Pages avec sa boîte et sans rougir, c’est juste une bonne habitude à prendre !

Par ici la carte OzTaBoîte

Marie

Mr.T, street gastronomie

Midi pétantes, assise au bar de Mr.T dans le Marais, aux premières loges pour voir le fameux Mr.T et son équipe travailler.
On pourrait hésiter entre nom de rappeur et nom d’espion, mais c’est juste le surnom du chef japonais Tsuyoshi Miyakazi : son portrait est d’ailleurs taillé dans le béton du mur par Vassilis Karatzas, une pointure du street art, et ça fait son effet.

On ne vient pas seulement ici pour manger mais aussi pour vivre l’instant. On vient se laisser happer par la beauté des lames aiguisées et des gestes, précis et énergiques. Coup de chalumeau par ici, siphon par là, ça créé des plats vivants, saisis, grillés et dressés à la minute.

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#1 Chinese Vibes : Le Bourgeon

Le Bourgeon c’est un petit bout de Chine authentique à Paris dans le 9ème arrondissement : on vient ici pour découvrir la cuisine de la région du Yunnan dans le Sud-Ouest de la Chine, une cuisine variée car c’est la province qui rassemble le plus de cultures ethniques différentes.

Les plats du Yunnan sont souvent épicés et à base de champignons : 850 espèces de champignons comestibles viennent de cette région.

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Porte 12

Derrière cette porte, il se passe toujours quelque chose.
Il faut la pousser pour comprendre.

Uppercut après uppercut, on est sonné par l’onde de créativité.
Un pigeon égayé par un praliné de graines de tournesol : mais comment a-t-il pu avoir cette idée ?
Vincent Crépel est un chef inspiré.
C’est un chef qui a voyagé et cuisiné à l’étranger (en Espagne, en Suisse et à Singapour) et qui continue de voyager pour dénicher et goûter. Et c’est un voyage immobile qu’il nous fait vivre chez Porte 12.

L’Asie n’est jamais loin, le chef s’en inspire beaucoup mais sait aussi s’en défaire :
on passe d’un bouillon de bœuf qui sent le pain d’épices, où nagent des raviolis de bœuf-foie gras et gingembre croustillant au sommet – addictif, cuillère après cuillère – à un millefeuille de carottes au jus de carottes déshydratées.

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Où boulotter à Opéra ?

Les boutiques à Opéra, ça il y en a ! Mais le shopping, ça creuse et voilà 5 adresses pour ne pas manger n’importe quoi à Opéra.

Sanukiya

La file d’attente est (toujours) au rendez-vous et on est assis collé-serré mais quand c’est bon, on oublie vite les petits défauts. Et puis, que des japonais dans la salle, c’est bon signe niveau authenticité.
Chez Sanukiya, commencez par vous enfiler un giga tempura de crevette et un kushi katsu (brochette de porc pané) avant d’attaquer le Kamo Udon au magret de canard avec des grosses nouilles de blé et un bouillon divin. Ça réchauffe et c’est bon de chez bon !

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